• Le pont de Billancourt et Île Saint-Germain

    Il y a 35 ans, je déambulai pour raisons professionnelles dans ce quartier très industrialisé des Hauts-de-Seine. Hier, le soleil nous a incitées à nous promener dans le même quartier devenu moderne et résidentiel au bord du fleuve.

    Le pont de Billancourt et Île Saint-Germain


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  • Ayant donné la priorité à d'autres lieux du patrimoine ce week-end, petite incursion dans le jardin de Jean Monnet (instigateur de l'Union Européenne) à Bazoches-sur-Guyonne cet après-midi ; la visite de la maison sera pour une fois. Pour le reportage complet, cliquez sur l'image ci-dessous (4 pages PDF).

    Le jardin de Jean Monnet

     


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  • La communauté orthodoxe de Meudon a découvert le terrain dans le Bois du Fay en 1938 et y a érigé l'édifice. Le père Grégoire Krug y a séjourné pendant 20 ans. Iconographe, il a décoré l'église de ses fresques. Décédé en 1969, il repose actuellement à proximité de l'église.

    Le skit du Saint-Esprit au Mesnil-Saint-Denis

    Aujourd'hui, il ne reste plus qu'un seul moine au skit, le Père Barsanuphle. Celui-ci (84 ans) tenait absolument à tenir une conférence devant le public présent le 15 septembre pour les journées du patrimoine. Malheureusement, après un quart d'heure de prise de parole il a été victime d'un malaise. Il faut préciser que la petite église ne peut recevoir qu'une trentaine de personnes et que les visiteurs étaient très nombreux ce jour-là (plusieurs centaines) à faire la queue pour accéder à l'édifice. Postée à l'entrée, je n'ai pas pu voir l'ensemble des icones et ai éprouvé des difficultés pour prendre des photos. On peut comprendre que le Père Barsanuphle, debout devant cette foule, a dû se sentir oppressé.

    Après avoir fait le tour du domaine (chapelle et anciennes cellules des moines) nous avons retrouvé le Père Barsanuphle se reposant assis près de son église. Des visiteurs lui ont proposé un peu d'eau qu'il a accepté volontiers : très touchant.

    Pour voir le reportage complet, cliquez sur l'image ci-dessus (4 pages PDF).

     


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  • J'ai découvert le parc du château de Groussay avec ses folies (fabriques) en 2009 lorsque j'ai écrit "Flânerie autour de la création artistique" (extraitpour le compte de la Maison du patrimoine de Montfort l'Amaury.

    Le domaine aménagé dans les années 40 par le décorateur, collectionneur d'art et mécène Charles de Beistegui était en 2010 la propriété de Jean-Louis Remilleux. Le parc ainsi que ses fabriques "hors du temps" y étaient parfaitement entretenues. Mais je n'avais pas eu accès aux différentes pièces du château, à l'exception de son magnifique théâtre. Puis en 2011, le domaine a été vendu à des russes. Depuis 2016, afin de redonner vie à son théâtre, la troupe du Crane y séjourne en résidence. J'ai d'ailleurs assisté en 2017 à la représentation "d'Un fil à la patte".

    Journées du patrimoine 2018 au château de Groussay

    Pour les journées du patrimoine 2018, le château investi par une quarantaine d'artisans d'art et par la troupe du Crane (fables de La Fontaine) a ouvert ses portes. Pour voir toutes les pièces, cliquez sur l'image ci-dessus (6 pages PDF).

     

    Journées du patrimoine 2018 au château de Groussay

    Si j'ai été ravie de pouvoir visiter en enfilade les pièces du château, je suis restée atterrée par l'état du parc laissé en friche et par ses fabriques abandonnées à leur triste sort. Pour voir l'ensemble comparatif entre 2009 et 2018, cliquez sur l'image ci-dessous (6 pages PDF).

    Journées du patrimoine 2018 au château de Groussay

    Bien que cette visite nous a laissé malheureusement une impression générale d'un besoin évident d'entretien, voire de rénovation, les animations étaient toutes de qualité. Nous avons passé un très bel après-midi.

     

     


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  • Arboretum de Chèvreloup

    Jouxtant le Domaine de Trianon par le sud, l'Arboretum de Chèvreloup vient de faire passer la superficie ouverte au public de 50 à 190 hectares. Né avec le château et son parc, il a subi les destructions de la seconde guerre mondiale et de la tempête de 1999. Après la récente canicule, ce n'était peut-être pas le meilleur moment pour le découvrir. Pour cette première visite, nous nous sommes contentées de la zone européenne dans laquelle nous avons déploré la sécheresse et la présence d'arbres morts. Puis nous avons emprunté l'Allée des Cèdres bleus pour rejoindre l'étang aux Hérons, que nous n'avons pas vus ! Les zones asiatique et américaine restent à faire au printemps et/ou à l'automne pour plus de couleurs. Pour voir le reportage complet, cliquez sur le plan ci-dessus (6 pages PDF).

    Arboretum de Chèvreloup


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