Hier 30 mai, c’était la journée mondiale de la sclérose en plaques (SEP), journée destinée à informer sur cette maladie insidieuse (comme une jolie rose qui n’en possède pas moins ses épines !). J’ai regardé avec beaucoup d’intérêt sur RMC le film documentaire de Marine Barniéras, Rosy, qui s’avère être un hymne à la vie.

« Marine est une jeune étudiante, solaire, jolie, pleine de vie, lorsqu’un neurologue lui annonce abruptement, très abruptement même, sans grande explication et empathie au lendemain du traumatisme de multiples examens médicaux, qu’elle souffre d’une sclérose en plaques, maladie incurable qui, dès qu’elle est nommée, devient synonyme d’handicap et de traitement lourds. Marine, elle, ne va pas se laisser influencer aussi facilement par ce diagnostic et par les différents discours des médecins. Elle va décider de prendre son sort en mains, sans traitement, avec un projet de voyage initiatique dans 3 pays : la Nouvelle Zélande pour écouter son corps (randonnée), la Birmanie pour écouter son esprit (retraite méditative), la Mongolie pour écouter son âme (retour à la nature). » Et c’est un succès !

Si la recherche médicale progresse de jour en jour, on ne peut pas en dire autant de la psychologie de certains spécialistes médecins. J’en ai fait l’expérience malheureuse à plusieurs reprises vis-à-vis de mes proches. Mieux vaut chercher des ressources en soi, si toutefois on en a encore la force !

Chapeau bas, Marine !