• Elancourt village et Ergal : pour moi, les mêmes racines et pourtant ?J’habite depuis 34 ans à Jouars-Pontchartrain qui fait partie du Parc Régional de la vallée de Chevreuse et je participe depuis 2 ans au Plan Paysage et Biodiversité de la plaine de Jouars à Montfort l’Amaury. Ecrivain autoéditée et spécialisée dans des balades illustrées, le dernier livret de cette trilogie constitue mon 16ème titre publié. 

    1er livret – juin 2014 : il s’agit d’un témoignage sur les liens de ma famille qui ont uni les villages d’Elancourt et d’Ergal, distants de 2 km. Ma mère était d’Elancourt et mon père d’Ergal. Ils se sont connus au moulin de Frécambeau qui n’existe plus aujourd’hui mais dont l’endroit est devenu la frontière physique entre SQY et le PNR. Pour ma part, j’ai habité à la sortie du village d’Elancourt (point de départ de la plaine qui s’en va vers Montfort),  de 1957 à 1979 j’ai passé une bonne partie de mes loisirs dans la maison de mon amie au hameau de Launay rattaché à Elancourt, à quelques centaines de mètres de Frécambeau et tous mes dimanches à Ergal dans la maison de ma grand-mère.

    En juillet, à la demande de ma sœur, j’ai adjoint à ce 1er livre, un livret généalogique de 16 pages (non publié) avec les noms, la nécrologie et des renseignements plus intimes sur les membres de ma famille.

    2ème livret – octobre 2014 : de quoi était faîte ma vie à l’époque ; l’école bien entendu, décrite dans le 1er livre, mais les lycées ensuite – St Cyr l’Ecole – Versailles – Paris, la ville de SQY était à son balbutiement à l’époque. J’ai adjoint à ce 2ème livre un livret publié de 16 pages sur la mode des années 70.

    3ème livret – novembre 2014 : en tant qu’habitante de la région depuis plus de 50 ans, j’ai vu naître et se développer SQY. J’ai écrit un mémoire de fin d’études sur les transports de SQY en 1988 et j’ai par ailleurs fait partie de l’équipe de construction du Technocentre Renault à Guyancourt. Quels sont mes liens aujourd’hui avec SQY ?

    L’après publication : les livres vivent, j’entends par-là que :

    - J’ai 11 années d’écart avec ma sœur ainée : depuis la parution du 1er livre, elle me parle plus facilement de ses souvenirs d’avant ma naissance.

    - J’ai à nouveau des contacts avec 4 personnes qui apparaissent dans les 2 premiers livres. J’en reçois une chez moi pas plus tard que demain ! Mes liens avec mon amie d’enfance, quant à eux, ne se sont jamais interrompus depuis notre enfance.

    - Je travaille actuellement sur un projet d’exposition sur les années 70 à Pontchartrain et je viens d’adhérer à l’association des Amis du Musée de la Ville de SQY.

    Les souvenirs des uns en appellent d’autres. Il n’est pas dit que je ne sortirai pas un jour le tout en un seul volume enrichi d’éléments nous traités dans cette trilogie. Car actuellement, de nombreuses scènes s’y cachent encore entre les lignes : volonté de ma part par respect pour le lecteur afin de ne pas éveiller chez lui un certain ennui. Si la demande venait à exister, je suis prête à aller bien plus loin dans mes souvenirs et recherches, voire même de motiver un éditeur.

    Reportage final sur TVFil 78

     


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  • B., de mon âge, a pris contact avec moi suite à la parution de mes lettres entrelacées d'Elancourt et d'Ergal. Elle a habité jusqu’en 1971 à Elancourt dans la même maison que mes parents et ma sœur avant que je naisse en 1957 ; de 1946 à 1957 plus précisément, dans la maison en face du Jardin des 5 sens  actuel.

    La maison des confitures et celle du maire
    La maison d'habitation de mes parents après guerre et celle d'un ancien maire,
    toutes 2 mitoyennes, en travaux actuellement

    Ma sœur me racontait le week-end dernier que, petite fille, elle appréciait beaucoup la compagnie de la mère de B, sa voisine. Et ce fut l’occasion pour elle de se remémorer de bons moments - que je n’ai pas vécus - dans cette maison, partagée en plusieurs appartements. Un grand et magnifique jardin s’étirait derrière cette dernière, empli d’arbustes à fruits tels les groseilles ou les mures… Il parait que notre mère passait à l’époque un temps infini à préparer toute sorte de confitures dans un grand fait-tout ! Il parait également que lorsqu‘elle se mettait à faire des crêpes, c’était par centaine qu’elle les distribuait généreusement autour d’elle.

    Plus tard, dans notre maison neuve, je me souviens plutôt des compotes de pomme, des clafoutis, des œufs au lait, des gâteaux de riz ou de semoule qu’elle préparait pour mon père et moi… Maman était très bonne cuisinière !

    Les souvenirs de ma sœur dans sa maison de naissance m’ont rappelé que dans les années 70, c’est le neveu de notre mère – par un de ses demi-frères - avec sa femme et leurs deux filles qui y habitèrent. Lorsque j’étais adolescente, j’allais souvent les voir alors que B., leur voisine, était partie vivre à Trappes avec ses parents.

     


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  • Ergal, Elancourt Village, Saint-Cyr l'Ecole, Versailles et Saint-Quentin- en-Yvelines réunis pour célébrer Noël.

    Article de Toutes les Nouvelles de Versailles ET Rambouillet


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  • Ancienne infirmerie        De nos jours                               Dans les années 1960
    Fondation Mequignon 
      Mequignon1960
                       Chapelle dans la colline boisée                         Photo M.Vassal - Imp. La Gutenberg, Versailles

    C’est en voyant passer un article sur Ingrid Chauvin que j’ai eu une lumière ce matin pour enfin remettre un nom sur la série télévisée qui a été en partie tournée en 2008 à la Fondation Méquignon d’Élancourt Village - juste avant ses 150 ans d’existence, fêtés en 2009 -  : La main blanche

    L’action se passe majoritairement dans la région de Guérande mais s’immisce par petites touches dans la somptueuse chapelle de la fondation afin d’y établir son laboratoire d’anthropologie ! Pour les initiés, on y reconnait la belle architecture extérieure de la fondation alors qu’elle est censée appartenir à la région de Guérande !

    * La main blanche : série télévisée de 4 épisodes de 52 minutes, réalisée par Dennis Berry, avec Ingrid Chauvin et Bruno Madinier dans les rôles principaux.


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  • Place Georges Pompidou

    Mes liens avec SQY ces 20 dernières années

    Lorsque mes parents étaient encore de ce monde, ils nous offraient de temps en temps un déjeuner au restaurant des Templiers à la Villedieu ou à l’auberge du Manet à Montigny. Une collègue du Technocentre fêta ses 40 ans lors d’une soirée à la Villedieu. En revanche, une autre se maria près de chez moi, à Neauphle-le- Château. Quand je travaillais à Guyancourt, nous allions l’été déjeuner en terrasse au golf, situé à proximité du Technocentre : de bons souvenirs…

    Ma mère fut placée pendant 10 années jusqu’en 2010 en maison de retraite à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. J’allai la voir deux à trois fois par semaine en passant par la ville nouvelle. Ainsi, je laissai sur ma droite, le beau quartier de La Sourderie, m’arrêtai régulièrement au café-tabac du vieux village de Voisins-Le-Bretonneux, passai devant le Chant des Oiseaux dans lequel j’avais dîné avec des collègues du Technocentre pour fêter son inauguration ainsi qu’à proximité de Buloyer (Magny-les-Hameaux) où se trouvait l’EPA lorsque je rédigeai mon mémoire sur les transports.

    En 2003, nous vendîmes notre maison d’Élancourt Village, chemin de la Coudriette. Je retourne régulièrement au village, ne serait-ce que pour fleurir les tombes de mes grands-parents maternels et de mes oncle et tante. À chaque fois que je passe devant l’ancienne mairie-école, je pense à l’ouverture du musée de l’éducation promise par la municipalité !

    Je randonne beaucoup dans la région et je me suis intéressée au réseau hydraulique qui alimente le parc du château de Versailles. Les étangs des Noës et de Saint-Quentin font partie de cette longue chaîne à partir des étangs de Hollande mais les étangs de la Minière furent les premiers à remplir cette fonction au XVIIème siècle. Les randonnées autour de chacun de ces étangs sont toujours un bonheur à la rencontre de la nature préservée au sein même de la ville nouvelle.

    Les centres commerciaux de Maurepas et de Plaisir se sont développés. Plus proches de Jouars-Pontchartrain que le centre régional de SQY, je les fréquente plus volontiers sauf besoin particulier. En revanche, je donne incontestablement la priorité au cinéma UGC et au Théâtre de SQY pour la grande variété de leur offre culturelle.

    Je vais assez souvent au cinéma depuis 2 ans avec mon amie d’enfance. Nous nous donnons généralement rendez-vous en haut des escalators puis après le film, nous nous retrouvons autour d’un café ou d’un chocolat chaud : moment très convivial. Le 24 décembre, en compagnie de mon mari, nous inversons le processus : collation en début de soirée et film ensuite, avant le réveillon à notre domicile.

    Deux évènements m’ont plus particulièrement marquée : la retransmission de l’Opéra Bastille « La Belle au Bois Dormant » dans la salle réservée à cet effet il y a un an  et « Le suicidé » au Théâtre, il y a deux ans.

    Petite anecdote pour ce dernier, le temps de gratuité du parking avait été dépassé et une belle pagaille nous attendait à la sortie !


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